Depuis plus d’un siècle, les chercheurs ont identifié le protozoaire Entamoeba gingivalis dans le sillon des dents atteintes par les maladies parodontales.
L’utilisation récente de réaction en chaîne par
polymérase (PCR) a permis de détecter cette
amibe dans 69 % des sites malades et démontré son absence dans la situation de gencive saine. Le but de cet article est de visualiser les caractéristiques d’un tel biofilm et d’évaluer les résultats cliniques de cabinets dentaires concernés par la composante parasitaire dans les thérapies parodontales et implantaires
par Mark BONNER, Docteur en médecine dentaire, Institut international de parodontie,
455, Promenade-des-Anglais, Nice