La CNSD rappelle que la suppression du numerus clausus, la dissociation de l’acte prothétique, l’ouverture du capital de sociétés d’exercices à des investisseurs non professionnels prévues dans le projet de loi « croissance et pouvoir d’achat » menaceraient dangereusement la qualité et la sécurité des soins bucco-dentaires. Malgré le risque que représente ce projet de loi pour la santé publique et une forte journée de mobilisation nationale le 30 septembre dernier, le gouvernement n’a pas encore infléchi sa position.
Aussi la CNSD, s’associe pleinement à la position du 9 octobre prise par le Conseil National de l’UNAPL et demande à ses adhérents et à l’ensemble de la profession de maintenir la pression.